Curé à Chiddingstone(en), ami de Henry Briggs dont il a été vraisemblablement l'élève, il termine le travail de celui-ci sur les logarithmes[1].
Il occupe la chaire d'astronomie du Gresham College en succession d'Edmund Gunter et soutient le système de Ptolémée contre celui de Copernic.
Il est célèbre pour ses études sur le champ magnétique terrestre et découvre que la déclinaison magnétique n'est pas constante mais change avec le temps (1635)[2].
On lui doit aussi une méthode de mesure de la longitude basée sur des éclipses[3].
Il est inhumé au St Peter le Poer(en).
Notes et références
Dezobry et Bachelet, Dictionnaire de biographie, vol. 1, Ch. Delagrave, 1878, p.1158
Albert van Helden et Elizabeth Burr, «Gellibrand, Henry», sur The Galileo Project, Rice University,
Michael Hoskin, The Cambridge Concise History of Astronomy, 2003, p.150.
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