En 1901, il soutient sa thèse pour le doctorat ès sciences intitulée Étude sur les occultations d'amas d'étoiles par la Lune avec un catalogue normal des Pléiades à l'université de Lyon[2]. À l'époque, les occultations des Pléiades par la Lune sont importantes pour vérifier la correspondance de la position réelle de la Lune avec celle prédite par les calculs.
Il travaille tout d'abord à l'observatoire de Lyon. Le , il devient directeur de l'observatoire de Quito, poste qu'il occupe pendant quelques années[évasif]. Il travaille ensuite[Quand?] à l'observatoire de Nice jusqu'en 1924, où il rejoint le personnel de l'observatoire d'Alger. Il en est ensuite le directeur de 1931 à 1938, à la suite de François Gonnessiat, qui avait pris sa retraite. Son parcours de carrière est quasi identique à celui de François Gonnessiat, qui avait aussi travaillé à Lyon, Quito et Alger.
Il a eu deux enfants: Jean-Louis Lagrula[3], astronome également, et Reine Lagrula, épouse Fleureau.
Il découvrit un astéroïde: (775) Lumière. L'astéroïde (1412) Lagrula porte son nom.
Étude sur les occultations d'amas d'étoiles par la Lune, avec un catalogue normal des Pléiades: N° d'ordre 25 (Thèses présentées à la faculté des sciences de Lyon pour obtenir le titre de Docteur ès sciences mathématiques) (Thèse), Lyon, A. Rey, , br, 152, in-8 (BNF30719500, lire en ligne) (consulté le 10 juin 2019)
Jean-Louis Lagrula (1906-1988), publié le par l'Institut de France, sur le site du Comité des travaux historiques et scientifiques (consulté le 10 juin 2019)
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