Valérie Van Grootel, née à Verviers[1] le [1], est une astronome et astrophysicienne belge, spécialiste en astérosismologie. Ingénieure diplômée de l’université de Liège (Belgique) et de l'Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace (Supaéro) à Toulouse (France)[2] et docteure en astrophysique à l’université Toulouse III-Paul-Sabatier[3] et à l’université de Montréal (Canada)[2], elle est chercheuse à l’Institut d’astrophysique et de géophysique du département d’astrophysique, géophysique et océanographie (AGO) de l’université de Liège.
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De 2008 à 2010, elle est chercheuse postdoctorale au laboratoire d’astrophysique de Toulouse-Tarbes.
En 2011, elle participe à la découverte de Kepler-70 b et Kepler-70 c, deux planètes en orbite autour de l’étoile Kepler-70[4],[5].
En 2013, elle est nommée membre de l’équipe scientifique de CHEOPS, où elle représente la Belgique avec Michaël Gillon[2],[6].
Elle participe également à la préparation du satellite PLATO de l’Agence spatiale européenne[2],[7].
En 2005, Valérie Van Grootel est nommée pour le prix OdISSea du Sénat de Belgique[8].
Fin 2008, elle reçoit le prix Pierre-Maury de l’Académie des sciences, inscriptions et belles-lettres de Toulouse[2].
En décembre 2012, elle reçoit le prix Agathon De Potter de l’Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique[2].